Samedi, à Lyon, se tiendra la deuxième édition des États généraux de l'Europe. Satisfaits ou déçus par le référendum irlandais, venez nombreux pour débattre de cela et de bien d'autres sujets !
L'Europe c'est nous !
Voici le programme.
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Une mode s'est emparée des détenteurs de la parole publique depuis quelques mois et singulièrement depuis la dernière présidentielle et à l'initiative des deux finalistes.
Il fait'moderne' de citer à tout bout de champ des exemples étrangers et de conclure 's'ils le font nous devons pouvoir le faire également'.Il faut noter le risque de populisme dans cette apparente ouverture et le risque implicite de culpabilisation induit.
Nos politiques auraient ils oubliés que la somme des morceaux d'un cochon n'ont jamais reconstitués un cochon.Le tout n'est pas la somme des parties.Et surtout un système tient dans son équilibre et non dans la sommation de bonnes idées.
L'idée européenne court les mêmes risques quand cette méthode est généralisée et que le principe de précaution prend le pas sur le principe de précaution essentiel et premier qui est celui de susciter l'adhésion.Alors seulement les aspects coercitifs peuvent être acceptés quels qu'en soient leurs légitimes intérêts.
Privilégier systématiquement ce qui différencie par rapport à ce qui réunit peut conduire à des comportements de rejet rapide.
Rédigé par : Larrouy Pierre | 17 juin 2008 à 10:10
désolé pour une orthographe
défaillante due à une transcription hâtive de ce commentaire
Rédigé par : Larrouy Pierre | 17 juin 2008 à 13:22
"L'Europe, c'est nous"...
Cela me rappelle l'autocollant sorti par la Confédération étudiante durant la campagne référendaire de 2005 :
"L'Europe Cé Nous !"
Rédigé par : Fabien | 17 juin 2008 à 22:33
Lyon ? J'y serais ce samedi !
Rédigé par : valery | 19 juin 2008 à 05:54