Un siècle d'histoire culturelle des Maghrébins en France
Voici une exposition exceptionnelle, à ne pas rater donc ! Vous avez jusqu'au 28 août.
Commentaires
LE OUI-OUI LIBERAL A LA TURQUIE:
L'image subliminale qui nous est proposée ci-dessus en guise de billet, vient ranimer comme par hasard le débat trans-courants qui traverse l'électorat à propos de l'immigration et de la Turquie. Nul doute que l'auteur de ce blog en fera ses choux gras...
Rassurons-le: malgré les lamentations de l'UMPS sur l'abstentation, on a bien eu droit au oui-oui à la Turquie de la part des mêmes (en l'occurence Moscovici et Weill dans "Le Monde")...avec une argumentation dont la base historico-culturelle alléguée fut si improvisée qu'elle déchaîna un tollé général.
L'origine de cette obstination est évidemment bien réelle:
Si la technocratie européenne et atlantiste reste si attachée à la perspective de la Turquie en Europe, c'est pour une première raison stratégique qu'a rappelée la récente intervention d'Obama sur le sujet: depuis l'origine du traité de Rome, les Etats-Unis ont appuyé l'intégration de la Turquie car elle commande le détroit du Bosphore qui permet de bloquer la flotte russe en cas de conflit au Sud. C'est pourquoi elle fait partie depuis longtemps de l'OTAN, et a logé les premières fusées Pershing. Son intégration européenne, aprés celle de l'ancienne Europe de l'Est, complèterait à merveille le schéma américain de "containment" qui continue d'être le mot d'ordre du Pentagone, pour un bon bout de temps...
Ce n'est pas pour rien que Jacques Delors, Pascal Lamy, Dominique Strauss-Kahn (qui proposa celui-ci à l'OMC) et son disciple Pierre Moscovici sont atlantistes. On ne perd pas ses habitudes de "young leader" si facilement...
Mais venons-en à la part sociologique, religieuse et économique de l'argumentation, qui dissimule la seconde raison:
Les auteurs de la tribune prétendent que nous n’aurions aucun mal à assimiler de plein droit un peuple musulman de 70 millions d’habitants sis en Asie mineure, alors que nous n’avons pu garder celui d’Algérie constitué de départements français!
Faut-il rappeler à ces ignorants (ou faisant semblant de l’être) que le Général De Gaulle lui-même, parti du slogan “Français de Dunkerque à Tamanrasset”, dut se rallier aux évidences brandies par son entourage qui lui fit valoir le bilan “globalement négatif” de l’intégration sans frontières, malgré l’exploitation du pétrole et l’expérimentation atomique au Sahara.
Derrière ce credo d'une Turquie à tout prix qu'on nous distille (pseudo-)savamment se trouve en réalité , comme au temps de l'Algérie, la politique libérale sous l'influence du patronnat: celui-ci voit d'un trés bon oeil l'entrée en Europe d'une main d'oeuvre à bas coût comme "armée de réserve" pouvant concurrencer le salariat actuel.
Au moment où l'on voit grandir le mécontentement des européens face à la globalisation qui tente d'étendre ce système au monde entier, il est d'autant plus indiqué pour les eurocrates libéraux de se réserver une position inexpugnable à l'intérieur: une fois la Turquie admise au sein de l'Europe, la concurrence interne fera taire toute revendication sociale!
Ce n'est pas pour rien que les sociaux démocrates sont libéraux.
Ces éléments sont devenus si évidents que même le parti communiste, originellement acquis aux mots d'ordre de l'internationale prolétarienne, a fini par se ranger à l'avis de Jean-Luc Mélenchon (encore lui!)sur le sujet.
Espérons que l'électorat socialiste ne sera pas en reste et saura faire taire cette fausse querelle qui empoisonne inutilement la Gauche.
La droite en profite avec une certaine malignité en recommandant à ses porte-paroles le slogan de
“L’EUROPE QUI PROTEGE”
Puisqu’il est bon pour chacun de rester actif et vigilant jusqu’au dernier moment, qu’il me soit permis de relever ici cette arme de dernière heure que semble brandir la droite, avec une démagogie… désarmante. L’”Europe (libérale) qui protège” est en effet le dernier slogan, en forme de mot d’ordre, entendu de la bouche de Michel Barnier, ...Marielle de Sarnez et ...François Bayrou lors d’émissions grand public.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, Catherine Trautmann, qui n’est pas novice en la matière, a pourtant fait les frais de ce slogan dans sa confrontation avec Sylvie Goulard et E. Maurin-Chartier au cours de l’émission “Face à vous” sur la chaîne parlementaire. Les candidates MODEM et UMP se sont notamment renvoyé la balle du mieux-disant en matière… d’harmonisation sociale et fiscale… devant la socialiste médusée qui n’a pas pu en placer une. Il a même été dit que le mot “protectionisme” n’était pas un gros mot! Chevènement et De Villiers n’ont désormais qu’à bien se tenir…
J’évoque ce phénomène, en cette fin de campagne européenne, car il me semble traduire une absence relative du débat sur la globalisation libérale qui avait marqué les esprits en 2005, et qui avait contribué à animer le débat avec l'ampleur que l'on sait.
Or, le traité de Lisbonne stipule toujours, en Protocole de son Article 3, “que le marché intérieur tel qu’il est défini à l’article I-3 du traité de l’Union européenne comprend un système garantissant que la concurrence est non faussée”.
Il serait bon à cet égard d’utiliser un argument qui ne l’a guère été jusque-là:
C’est bien au titre d’une concurrence “non-faussée” que les échanges dans l’Union nécéssitent des conditions sociales et fiscales comparables! D’où l’harmonisation sociale et fiscale qui reste à finaliser d’urgence, si l’on ne veut pas que les pays en retard soient contrevenants à cet impératif tant vanté de la législation européenne.
De même, vis à vis des marchés extérieurs, l’Europe ne saurait faire moins qu’elle ne s’applique à elle-même, en réclamant les mêmes règles à l’OMC dirigée par Pascal Lamy, chantre de la “concurrence non-faussée”.
Voila une cause dont le bien-fondé est compréhensible par quiconque, et que ne saurait désavouer aucun de ceux favorables à l’”Europe qui protège”.
Si d’aucun s’aventurait à en contester la validité, il deviendrait alors plus dangereux pour lui de se voir opposés les chiffres bien plus compromettants de la réalité:
Depuis l’Europe des six, à la croissance de plus de 5%, celle-ci n’a cessé de diminuer à chaque nouvel élargissement, passant 2% au dernier élargissement, pour finir aujourd’hui en négatif grace à la crise du libéralisme! Mieux, on nous annonce celle-ci plus forte en Europe avec l’Euro, qu’aux Etats-Unis avec un dollar affaibli…
Concernant le pouvoir d’achat réel, on savait déjà en 2005 (cf Atlas d’une nouvelle Europe, Editions Autrement, préfacé par Pascal Lamy) qu’il n’avait pas progressé en trente ans, c’est à dire depuis l’adhesion de la Grande-Bretagne. Et il est en train aujourd’hui de diminuer!
Voilà les exploits de l’Europe libérale dont PPE, PSE, MODEM et Europe-Ecolos ne sont pas peu fiers!
@Hadrien, vos élucubrations interminables et poisseuses partent d'une assimilation du monde turc aux cultures maghrébines qui témoigne ou bien de votre méchante malhonnêteté ou bien de votre ignorance crasse.
C'est vous qui ne comprenez même pas la première phrase de mon commentaire:
"L'image subliminale qui nous est proposée ci-dessus en guise de billet..."
Je fais précisément référence à l'illustration de la culture maghrebine ancienne que vous avez volontairement choisie, avec moustaches à la turque et chéchia, qui sont l'image d'une unité du monde musulman aujourd'hui disparue. J'en suis d'autant plus conscient que c'est un Professeur de l'Université d'Alger qui a commenté avec moi cette image.
Cela ne vous autorise donc pas à parler d'"élucubrations interminables et poisseuses", ni d'"ignorance crasse", quand vous effectuez vous-même un contre-sens.
En revanche, comme cela vous a été dit à plusieurs reprises dans ces colonnes, ce langage de votre part et les connotations qu'il véhicule font plus penser à un militant du front national qu'au militant UMP que vous êtes à la tête de la "Fondation pour l'Innovation Politique":
« C'était le dernier bastion chiraco-juppéiste dans la galaxie de l'UMP. La reprise en main est désormais complète avec la nomination discrète avant l'été de Nicolas Bazire et de Pierre Giacometti, deux proches de Nicolas Sarkozy, au conseil de surveillance de la Fondation pour l'Innovation Politique. Lancée en 2004, celle-ci fut longtemps présidée par son fondateur, Jérôme Monod, ami proche de Jacques Chirac. Aujourd'hui exclusivement financée par des fonds privés, elle sera maintenant dirigée par le politologue Dominique Reynié, professeur à Sciences-Po. »
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/pa...
J'en profite pour vous signaler qu'il serait plus honnête que vos auditeurs ou vos lecteurs en soient avertis, lorsque vous affichez régulièrement vos analyses de "politologue" comme Professeur de Sciences Politiques à l'émission C dans l'air, ou dans le Journal Libération plus récemment pour conclure à "l'echec de l'idéologie de la Gauche".
C'est la moindre des précautions déontologiques que commande l'éthique professionnelle en pareil cas.
@Hadrien, amusantes remarques sur la présentation de soi de la part d'un pseudo ! Par suite, les mots "déontologie" ou "éthique" sonnent faux. Pour être charitable.
Mon nom ne vous dirait rien. Je suis un simple citoyen de province, et ne suis inscrit à aucun parti.
Sans doute est-ce pour cette dernière raison que je n'utilise aucun qualificatif insultant dans mes interventions...
Oui e9videmment, dans le meilleur des modens, il faudrait un mix entre les deux, mais on ne vit pas dans le meilleur des modens C'est un sujet difficile. La frontie8re est mince entre e9tablir des quotas et favoriser la diversite9 de la repre9sentation politique.Tiens, une question pour toi Val : que penses tu de la loi sur la parite9 ?
LE OUI-OUI LIBERAL A LA TURQUIE:
L'image subliminale qui nous est proposée ci-dessus en guise de billet, vient ranimer comme par hasard le débat trans-courants qui traverse l'électorat à propos de l'immigration et de la Turquie. Nul doute que l'auteur de ce blog en fera ses choux gras...
Rassurons-le: malgré les lamentations de l'UMPS sur l'abstentation, on a bien eu droit au oui-oui à la Turquie de la part des mêmes (en l'occurence Moscovici et Weill dans "Le Monde")...avec une argumentation dont la base historico-culturelle alléguée fut si improvisée qu'elle déchaîna un tollé général.
L'origine de cette obstination est évidemment bien réelle:
Si la technocratie européenne et atlantiste reste si attachée à la perspective de la Turquie en Europe, c'est pour une première raison stratégique qu'a rappelée la récente intervention d'Obama sur le sujet: depuis l'origine du traité de Rome, les Etats-Unis ont appuyé l'intégration de la Turquie car elle commande le détroit du Bosphore qui permet de bloquer la flotte russe en cas de conflit au Sud. C'est pourquoi elle fait partie depuis longtemps de l'OTAN, et a logé les premières fusées Pershing. Son intégration européenne, aprés celle de l'ancienne Europe de l'Est, complèterait à merveille le schéma américain de "containment" qui continue d'être le mot d'ordre du Pentagone, pour un bon bout de temps...
Ce n'est pas pour rien que Jacques Delors, Pascal Lamy, Dominique Strauss-Kahn (qui proposa celui-ci à l'OMC) et son disciple Pierre Moscovici sont atlantistes. On ne perd pas ses habitudes de "young leader" si facilement...
Mais venons-en à la part sociologique, religieuse et économique de l'argumentation, qui dissimule la seconde raison:
Les auteurs de la tribune prétendent que nous n’aurions aucun mal à assimiler de plein droit un peuple musulman de 70 millions d’habitants sis en Asie mineure, alors que nous n’avons pu garder celui d’Algérie constitué de départements français!
Faut-il rappeler à ces ignorants (ou faisant semblant de l’être) que le Général De Gaulle lui-même, parti du slogan “Français de Dunkerque à Tamanrasset”, dut se rallier aux évidences brandies par son entourage qui lui fit valoir le bilan “globalement négatif” de l’intégration sans frontières, malgré l’exploitation du pétrole et l’expérimentation atomique au Sahara.
Derrière ce credo d'une Turquie à tout prix qu'on nous distille (pseudo-)savamment se trouve en réalité , comme au temps de l'Algérie, la politique libérale sous l'influence du patronnat: celui-ci voit d'un trés bon oeil l'entrée en Europe d'une main d'oeuvre à bas coût comme "armée de réserve" pouvant concurrencer le salariat actuel.
Au moment où l'on voit grandir le mécontentement des européens face à la globalisation qui tente d'étendre ce système au monde entier, il est d'autant plus indiqué pour les eurocrates libéraux de se réserver une position inexpugnable à l'intérieur: une fois la Turquie admise au sein de l'Europe, la concurrence interne fera taire toute revendication sociale!
Ce n'est pas pour rien que les sociaux démocrates sont libéraux.
Ces éléments sont devenus si évidents que même le parti communiste, originellement acquis aux mots d'ordre de l'internationale prolétarienne, a fini par se ranger à l'avis de Jean-Luc Mélenchon (encore lui!)sur le sujet.
Espérons que l'électorat socialiste ne sera pas en reste et saura faire taire cette fausse querelle qui empoisonne inutilement la Gauche.
La droite en profite avec une certaine malignité en recommandant à ses porte-paroles le slogan de
“L’EUROPE QUI PROTEGE”
Puisqu’il est bon pour chacun de rester actif et vigilant jusqu’au dernier moment, qu’il me soit permis de relever ici cette arme de dernière heure que semble brandir la droite, avec une démagogie… désarmante. L’”Europe (libérale) qui protège” est en effet le dernier slogan, en forme de mot d’ordre, entendu de la bouche de Michel Barnier, ...Marielle de Sarnez et ...François Bayrou lors d’émissions grand public.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, Catherine Trautmann, qui n’est pas novice en la matière, a pourtant fait les frais de ce slogan dans sa confrontation avec Sylvie Goulard et E. Maurin-Chartier au cours de l’émission “Face à vous” sur la chaîne parlementaire. Les candidates MODEM et UMP se sont notamment renvoyé la balle du mieux-disant en matière… d’harmonisation sociale et fiscale… devant la socialiste médusée qui n’a pas pu en placer une. Il a même été dit que le mot “protectionisme” n’était pas un gros mot! Chevènement et De Villiers n’ont désormais qu’à bien se tenir…
J’évoque ce phénomène, en cette fin de campagne européenne, car il me semble traduire une absence relative du débat sur la globalisation libérale qui avait marqué les esprits en 2005, et qui avait contribué à animer le débat avec l'ampleur que l'on sait.
Or, le traité de Lisbonne stipule toujours, en Protocole de son Article 3, “que le marché intérieur tel qu’il est défini à l’article I-3 du traité de l’Union européenne comprend un système garantissant que la concurrence est non faussée”.
Il serait bon à cet égard d’utiliser un argument qui ne l’a guère été jusque-là:
C’est bien au titre d’une concurrence “non-faussée” que les échanges dans l’Union nécéssitent des conditions sociales et fiscales comparables! D’où l’harmonisation sociale et fiscale qui reste à finaliser d’urgence, si l’on ne veut pas que les pays en retard soient contrevenants à cet impératif tant vanté de la législation européenne.
De même, vis à vis des marchés extérieurs, l’Europe ne saurait faire moins qu’elle ne s’applique à elle-même, en réclamant les mêmes règles à l’OMC dirigée par Pascal Lamy, chantre de la “concurrence non-faussée”.
Voila une cause dont le bien-fondé est compréhensible par quiconque, et que ne saurait désavouer aucun de ceux favorables à l’”Europe qui protège”.
Si d’aucun s’aventurait à en contester la validité, il deviendrait alors plus dangereux pour lui de se voir opposés les chiffres bien plus compromettants de la réalité:
Depuis l’Europe des six, à la croissance de plus de 5%, celle-ci n’a cessé de diminuer à chaque nouvel élargissement, passant 2% au dernier élargissement, pour finir aujourd’hui en négatif grace à la crise du libéralisme! Mieux, on nous annonce celle-ci plus forte en Europe avec l’Euro, qu’aux Etats-Unis avec un dollar affaibli…
Concernant le pouvoir d’achat réel, on savait déjà en 2005 (cf Atlas d’une nouvelle Europe, Editions Autrement, préfacé par Pascal Lamy) qu’il n’avait pas progressé en trente ans, c’est à dire depuis l’adhesion de la Grande-Bretagne. Et il est en train aujourd’hui de diminuer!
Voilà les exploits de l’Europe libérale dont PPE, PSE, MODEM et Europe-Ecolos ne sont pas peu fiers!
Rédigé par : Hadrien | 04 juin 2009 à 17:56
@Hadrien, vos élucubrations interminables et poisseuses partent d'une assimilation du monde turc aux cultures maghrébines qui témoigne ou bien de votre méchante malhonnêteté ou bien de votre ignorance crasse.
Rédigé par : Reynié | 04 juin 2009 à 19:27
Monsieur Reynié,
C'est vous qui ne comprenez même pas la première phrase de mon commentaire:
"L'image subliminale qui nous est proposée ci-dessus en guise de billet..."
Je fais précisément référence à l'illustration de la culture maghrebine ancienne que vous avez volontairement choisie, avec moustaches à la turque et chéchia, qui sont l'image d'une unité du monde musulman aujourd'hui disparue. J'en suis d'autant plus conscient que c'est un Professeur de l'Université d'Alger qui a commenté avec moi cette image.
Cela ne vous autorise donc pas à parler d'"élucubrations interminables et poisseuses", ni d'"ignorance crasse", quand vous effectuez vous-même un contre-sens.
En revanche, comme cela vous a été dit à plusieurs reprises dans ces colonnes, ce langage de votre part et les connotations qu'il véhicule font plus penser à un militant du front national qu'au militant UMP que vous êtes à la tête de la "Fondation pour l'Innovation Politique":
« C'était le dernier bastion chiraco-juppéiste dans la galaxie de l'UMP. La reprise en main est désormais complète avec la nomination discrète avant l'été de Nicolas Bazire et de Pierre Giacometti, deux proches de Nicolas Sarkozy, au conseil de surveillance de la Fondation pour l'Innovation Politique. Lancée en 2004, celle-ci fut longtemps présidée par son fondateur, Jérôme Monod, ami proche de Jacques Chirac. Aujourd'hui exclusivement financée par des fonds privés, elle sera maintenant dirigée par le politologue Dominique Reynié, professeur à Sciences-Po. »
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/pa...
J'en profite pour vous signaler qu'il serait plus honnête que vos auditeurs ou vos lecteurs en soient avertis, lorsque vous affichez régulièrement vos analyses de "politologue" comme Professeur de Sciences Politiques à l'émission C dans l'air, ou dans le Journal Libération plus récemment pour conclure à "l'echec de l'idéologie de la Gauche".
C'est la moindre des précautions déontologiques que commande l'éthique professionnelle en pareil cas.
Rédigé par : Hadrien | 05 juin 2009 à 19:53
@Hadrien, amusantes remarques sur la présentation de soi de la part d'un pseudo ! Par suite, les mots "déontologie" ou "éthique" sonnent faux. Pour être charitable.
Rédigé par : Reynié | 05 juin 2009 à 20:23
Mon nom ne vous dirait rien. Je suis un simple citoyen de province, et ne suis inscrit à aucun parti.
Sans doute est-ce pour cette dernière raison que je n'utilise aucun qualificatif insultant dans mes interventions...
Rédigé par : Hadrien | 06 juin 2009 à 00:20
Oui e9videmment, dans le meilleur des modens, il faudrait un mix entre les deux, mais on ne vit pas dans le meilleur des modens C'est un sujet difficile. La frontie8re est mince entre e9tablir des quotas et favoriser la diversite9 de la repre9sentation politique.Tiens, une question pour toi Val : que penses tu de la loi sur la parite9 ?
Rédigé par : Aijaz | 31 mai 2012 à 09:37