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Commentaires

olkainfri

Comment Pouvez vous continuez cette croisade qui consiste à élever la mauvaise fois à un niveau artistique?

Je vous prie de faire le meme reproche à lemonde.fr dont les articles ne peuvent etre commenté sur internet que par les abonnées, j'espere qu'aucun des journalistes de ce journal n'aura la mauvaise idée de vous mettre en cause si non l'ayotola Rényé lancera une fatoua sur le journaliste mécréant!

Reynié

A olkainfri,
Vous employez un ton inutilement désagréable, mais libre à vous, pour commettre un erreur: je ne conteste pas l'impossibilité de commenter les informations payantes de Mediapart, mais l'impossibilité de poster des commentaires sur les BLOGS de mediapart sans être obligé de payer pour cela. Les BLOGS Lemonde.fr le permettent, comme la plupart des blogs. A la limite, on pourrait admettre un blog n'autorisant pas de commentaires, mais cela suppose de ne mettre en cause aucune personne, puisque celle-ci se trouve ou bien dans l'incapacité de répondre ou bien dans l'obligation de payer pour cela.

Victor

... ou encore d'adresser au blog en question un droit de réponde qu'il est dans l'obligation légale de publier. Cela se fait. Cela, vous ne l'avez toujours pas fait.

serdan

Je suis d'accord avec vous Dominique.

Ne pas pouvoir répondre à un blog de Mediapart est un problème.

Je suis moi-même abonné à Médiapart et je n'avais pas perçu ce problème.

J'ai toujours trouvé qu'il est préférable qu'un blog soit indépendant d'un média.

Cela concerne donc Mediapart et Lemonde.fr

De la même façon qu'une adresse email doit être indépendante du fournisseur d'accès, etc.

Reynié

Serdan, je suis sensible à votre point de vue car il montre notamment que l'on ne peut opposer les utilisateurs de médiapart et les autres. Internet est une machine formidable. Comme à chaque fois que des espaces de liberté se dégagent, des institutions surgissent pour s'y tailler une place réservée, exigent ensuite des droits d'entrée, de sortie, de passage, etc., comme s'ils étaient propriétaires du lieu, entamant ainsi un lent travail d'asphyxie sans toujours en avoir conscience. A la fin, c'est une affaire de professionnels et la piétaille est priée de bien vouloir ouvrir son porte-monnaie pour accéder aux lumières du monde.

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