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Commentaires

arturh

J'espère que cette prise de position fera l'objet de l'indifférence polie qu'elle mérite.

Reynié

??????

valéry

@arturh: je vous invite à aller voter lors des prochaines élections européennes et à bien choisir votre candidat : les eurodéputés jouent un rôle non négligeable dans le processus d'élargissement.

@Reynié: j'espère trouver le temps de lire ce livre. Toutefois je suis a priori dubitatif : la plupart des prises de position de Michel Rocard sur l'Europe ces dernières années semblent fondées sur le constat de l'échec supposé du projet de construction d'une Europe politique et démocratique et sur le soucis de capitaliser sur ce qui constitue aux yeux de l'auteur le principal succès de l'Union : un facteur de stabilité et d'attraction pour les démocraties naissantes à ses frontières.

Je suis dubitatif pour deux raisons : la première est que si l'Europe que souhaitait Michel Rocard ne verra sans doute pas le jour de son vivant - peut être pas du mien - on ne peut que constater en dépit de l'erreur des élargissement précipités - qu'elle a considérablement avancé entre 1986 et 2004. Il est permis de penser que l'eurosclérose actuelle n'est que passagère et que les nécessités (cf. la résurgence de la menace Russe par exemple) lui permettront de revenir sur les rails.

D'autre part, certes l'Europe exerce une force d'attraction envers ses voisins et cela contribue utilement à la stabilité de ceux-ci (cf. encore récemment la Serbie) mais l'expérience du Conseil de l'Europe (vide de sens alors que la Russie en est membre associé) et l'expérience malheureuse de l'adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie peuvent faire craindre que l'assouplissement des critères d'adhésion pour faire adhérer des pays qui n'y sont pas prêts peut affaiblir ou diluer l'Union plus que renforcer la stabilité du pays en question.

En toute hypothèse l'accueil de nouveaux Etats-membres doit répondre à deux questions prioritaires : l'Union dispose-t-elle d'institutions lui permettant de fonctionner de manière satisfansante dans un contexte d'élargissement et la réponse me semble négative, même avec l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne ; par ailleurs les citoyens de l'Union acceptent-ils cet élargissement ? En 2004, les sondages restaient globalement positifs et les partis politiques démocratiques étaient unanimes pour l'accepter ou ne pas s'y opposer. Au sujet de la Turquie, il existe un véritable fond d'hostilité et il me semblerait déraisonnable pour l'Union d'avancer dans cette voie sans s'assurer d'abord de le résorber.

Ronan

Suis entièrement d'accord avec Valéry : nous avons déjà des priorités à gérer, et il ne faut sans doute pas mettre la charrue avant les boeufs.

je reste donc favorable - dans le principe - à une éventuelle adhésion future de la Turquie, sous réserve de deux conditions essentielles : d'une part qu'elle fasse le chemin (vers la démocratie et l'Etat de droit) que les européens attendent d'elle et, d'autre part, que l'Union se réforme de manière à pouvoir fonctionner correctement .

Michel Cavallier

Soit l'Europe se replie sur elle même, et dans un monde qui évolue dans cesse elle devient forteresse assiégée, soit elle s'adapte au monde et aux réalités géo politiques et la Turquie doit en faire partie. Que se mette en place un système à plusieurs vitesses semble alors nécessaire, en particulier sur le plan économique, mais qui ne soit pas hermétique. Mais politiquement plus l'Europe fédèrera plus elle comptera, en espérant qu'elle puisse être cette ilôt de stabilité dont le monde a besoin.

Valéry

Bonjour,

Pour information je publie ce jour sur le Taurillon une chronique du livre de Michel Rocard : http://www.taurillon.org/Michel-Rocard-explique-son-oui-a-la-Turquie

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