Quelle leçon... Jean-Marie Le Pen et son parti, le FRONT NATIONAL, excusez du peu, viennent de vendre leur principal immeuble à des investisseurs chinois qui se réclament encore du marxisme-léninisme et vont y installer une université (de Shangaï). Bravo et merci, c'est la première leçon que nous devons à cette future institution, et elle est gratuite : les souverainistes sont bien des héros de pacotille. Bruno Mégret a déjà, il y a quelques semaines, quitté la vie politique pour prendre sa part à l'économie globale, loin de sa chère patrie pour laquelle vibre son coeur farouche, plongeant - à contre-coeur ? - en plein capitalisme transnational. Ah... les héros du "non" à l'Europe... Quelle pantalonnade... Au moins, ils en auront bien vécu. Qu'en dit Mélenchon, le "pro-chinois" du "non" ?
En même temps il n'y a pas une différence majeure entre la nature du régime politique chinois et l'idéologie qui transparaît dans le discours du Front national.
Je me souviens aussi qu'il y a un an l'on avait entendu M. Le Pen critiquer Rama Yade qui avait eu l'audace d'utiliser le terme de "dictature" pour qualifier Chine et Russie. IL avait je crois me souvenir demandé sa démission.
Au final n'est-ce pas patriotique de permettre à de braves jeunes gens étranger d'apprendre notre langue au lieu de s'attendre à ce que l'on s'adresse à eux en anglais ou en chinois ?
Il faut dire aussi que ce siège ils ont eu du mal à le vendre : il semble que toute entreprise française désireuse d'investir 15 millions dans une opération immobilière recherchait sans doute plus de discrétion.
Rédigé par : valery | 12 août 2008 à 19:29
Manque à tout ce fatras, en forme de fatwas souverainistes, un maillon. Demoiselle ou machaon? Mais j'en vois qui ne rit pas. Je vais donc recommencer, sachant que l'information est fonction du nombre de bits. Et donc logiquement: plus le cul est bordé de nouilles, plus, il danse. Cette image de France plus plus doit être immortalisée. Voici comment.
C'est un petit géant
maladroit et français.
Alors, docteur!
Matin, midi, soir,
louche de devoir,
dans un bol de chance,
aller au miroir
de tout le vouloir,
crier: à moi, France!
Cette histoire a son jus rance,
mêlée d'oignons et d'espoir,
et de Gaulois en souffrance,
because discours rasoirs,
prescrits sur ordonnance.
Rédigé par : Valentini | 29 janvier 2010 à 11:18
On atteint à grand peine le niveau du skyblog ici...
Rédigé par : edgar | 08 février 2010 à 22:09
@edgar : peux-tu préciser ta pensée s'il te plaît ?
Rédigé par : Valéry | 10 février 2010 à 09:18