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Commentaires

Le Xanthien

"J’espère que les partisans du « non » ne vont pas attendre plus longtemps pour dénoncer son comportement, au nom de leur attachement à la démocratie dont ils ne cessent de se proclamer les champions."

Lol, lol er archi lol.

arturh

http://reynie.typepad.fr/opinion_europenneeuropean/2008/07/2127-les-pays-b.html#comment-121610562

Lol lol lol ça devient une franche rigolade ce mépris profond de l'Ecole de la Pensée Unique pour la théorie pragmatique qu'est la Démocratie.

Ronan

Il serait tout de même bon (par exhaustivité dans le traîtement des faits et par honnêteté intellectuelle aussi...) que vous expliquiez pourquoi le président polonais refuse donc de signer ce traité (même ratifié par le Parlement).

A savoir qu'il prend en compte la promesse de campagne de l'actuel PM polonais (Donald Tusk), lors des dernières élections législatives polonaises, de faire insérer dans les textes fondamentaux polonais de nouvelles précisions garantissant la supériorité du droit national (polonais) sur la « Charte des Droits fondamentaux » (européenne), même officiellement acceptée.

Or la majorité du PM Tusk n'ayant pas encore votée ces "précisions", le Président polonais Kascynski refuse donc d'apporter son ultime blanc-seing de confirmation et se fait donc - en toute logique - tirer l'oreille.

De plus - sans évoquer davantage le processus « Lisbonne » actuellement en cours - on peut tout de même s'interroger sur la sincérité du consensus européen portant sur la « Charte des Droits fondamentaux » si ceux qui l'acceptent officiellement se mettent à truffer leurs textes de lois de dispositions spéciales pour en annuler toute valeur juridique.

Arguant là du fait qu'une partie importante de la population (et de l'électorat) polonais refuserait de voir leur "way of life" soumis en quoi que ce soit à la jurisprudence et à l'arbitrage des cours européennes.

Si j'osais un parallèle historique, je me permettrais donc de dire qu'un Etat membre de l'Union cherche actuellement, donc, à se garantir contre toute application concrète d'un texte qu'il a néanmoins quasiment ratifié. Aux Etats-Unis d'avant la guerre de sécession, on aurait parlé d'un processus de "nullification"...

C'est préocupant car ça pose la question de la cohésion de l'Union et de la "sincérité" de certaines récentes adhésions à l'UE (sur quel projet ?!). Mais il est vrai que les britanniques (notamment avec l'Euro) et les danois (dès 1992) avaient montré la voie...

En tout cas, avec les réticences irlandaises (bientôt traduites dans les textes en de nouveaux opting outs ?!), l'UE à 27 montre là singulièrement ses limites...

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